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Petites poussières de vie... Et puis, le corps vertébral de cette petite vertèbre est un peu plus facile à déterminer. On peut observer 2 condyles à l'arrière du corps et la cassure nette d'un autre condyle à l'avant. Il doit donc s'agir d'une vertèvre sacrée d'une grenouille ou bien d'un discoglosse. C'est là que s'articule l'urostyle qui se prolonge vers l'arrière. En déclin? L'écrasante majorité du groupe est constituée par des espèces d'anoures, le groupe des grenouilles. Le problème des amphibiens, c'est l'ambigüité du rapport avec l'eau et avec la terre ferme. Jamais complètement dedans, jamais complètement dehors. De fait, les amphibiens se sont trouvés à être plus lents que les poissons dans l'eau et plus lents que les reptiles sur terre. En plus le passage par une phase larvaire n'a pas simplifié le cycle de vie des amphibiens.
-Certaines espèces sont toxiques pour les prédateurs (comme certains tritons) -D'autres ont choisi de vivre cachées comme les Salamandres. Enfin certaines espèces ont colonisé des milieux improbables comme les Proteus qui vivent reclus au fond de cavernes. Seuls les anoures (grenouilles) ont su tirer leur épingle du jeu. Au prix d'une simplification drastique du squelette : un allègement spectaculaire puisque les grenouilles ont sacrifié leurs queues et même leurs côtes. |
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